Author Archive: stephane

Surveiller, lors d’un sprint, la position des adversaires, et soudain se faufiler dans l’espace laissé par eux, pour passer devant et gagner la course.

Abandonner la course. Le coureur qui abandonne doit obligatoirement monter dans la voiture-balai, dernier véhicule de la caravane. Le coureur enlève son dossard et finit le parcours en voiture.

se placer en tête de la course, et obliger les autres à suivre à la cadence voulue. Ceux qui ne pourront pas suivre seront lâchés. Si un coureur veut faire ralentir l?allure, il tentera de passer devant, mais l’autre reprendra la tête et pourra, a nouveau, imposer l’allure qu’il souhaite.

Cet aspect de la course intervient lorsqu’il y a un vent très fort. Souvent, le peloton se scinde en plusieurs éventails. Le premier coureur se place cote vent, les autres s’installent en se décalant pour être dans l’abri, sur toute la largeur de la route. L’évolution de l’éventail est la suivante : le vent vient […]

Ecoeurer son adversaire. Lorsqu’un coureur, en grande condition, se joue des obstacles, alors que ses adversaires ont du mal à suivre, et font beaucoup d’efforts, ces derniers sont écoeurés. Le voir pédaler aussi facilement, leur « file la pompe ».

S’employer complètement dans une action, en allant au-delà de ses limites, et ce, jusqu’au point de rupture, avant d’être dans le rouge, pour conserver un avantage ou se maintenir à l’avant de la course.

Après avoir conduit sa course sur le plan tactique, avec l’aide de ses coéquipiers, prendre la direction des opérations et dominer ses adversaires, en faisant seulement appel à ses qualités et à ses dons.

Expression utilisée par les coureurs d’épreuves d’américaines ou de 6 jours. C’est, pour un coureur expérimenté et de qualité, faire accomplir l’apprentissage à un jeune, manquant d’expérience et auquel il est associé. C’est aussi courir pour mettre en valeur un routier en renom, mais insuffisamment adapté à la piste.

action commise par une équipe qui attaque sans cesse pour faire perdre pied à l?adversaire et en éliminer le plus possible. On dit aussi « faire la lessive ».

action réalisée par un groupe de coureurs attardés qui rejoint le premier peloton, cette action permettant le regroupement de tout l’effectif.

Faire une Armstrong : partir dans le décor, et retrouver la route plus loin (ou plus bas) en passant à travers champs.

Chercher le beurre dans le Frigo : faire une perquisition dans une équipe cycliste. Valable uniquement pour des équipes françaises, espagnoles et italiennes.

Faire une Beloki : faire un joli soleil où ça fait mal partout.

rouler avec une fréquence de pédalage élevée.  

Rouler dans la pampa : rouler seul, lâché par le peloton.

GRUPPETTO : groupe de coureurs qui roulent ensemble pour terminer la course dans les délais.

pas de poussière sur le 13 aujhourd’hui

Se dit d’un cycliste qui possède ses deux bidons pleins.

terminer après tout le monde. Souvent l’apanage des moins bons coureurs, ou de ceux diminués, qui, lorsque la course se durcit, se font irrémédiablement lâcher par le peloton et franchissent la ligne d’arrivée une éternité après le vainqueur.

Se dit d’un cycliste peu atypique, au manque de fluidité certain dans son allure que l’on remarque par un dodelinement de la tête.

dans les sprints c’est de plus en plus fréquent

Se dit d’un cycliste qui abandonne alors qu’il est tout neuf.

Se dit d’un coureur qu descend de façon dangereuse et qu’il risque sa vie.

Se dit d’un coureur qui n’ a pas le bon braquet et qui mouline à fond.

Se dit d’un coureur très costaud

aalignéle peloton suite à une acceleration

Se dit dans une épreuve quand une chute massive se produit.

ça va se finir sur les genoux du préfet : la course va se finir avec un sprint massif  

pédaler les genoux écartés, à chaque coup de pédale oulala..oulala..çà fait mal..

-Sors la vaisselle, vlà du beau monde : mettre à gauche sur les grandes assiette, mettre sur le grand plateau

Acheter un morceau de terrain: Là où on se gamelle, cela arrive malheureusement.

ne pas monter un pont de chemin de fer : Faire une mauvaise saison.

avoir des traces de pneus sur la langue: se mettre derrière pour se protéger.

Chaudière : cycliste dopé(e).

Attaquer

Avoir recours à des substances à l’insu du plein gré…

Penser vélo, ne parler que de vélo, faire une fixette sur la chose cycliste, etc…

Rouler à la file indienne sur un bord de la route pour minimiser l’effet du vent de face.  

foncer tête baissée sans trop se poser de question.

le rouin étant l’ornière laissée par le passage de la roue.

faire une accélération subite.

Récupérer ses forces

Se doper

Se mettre à rouler très vite et à augmenter cette vitesse à la manière d’un motocycliste qui tournerait vivement la poignée des gaz de sa moto.

c’est être entre deux groupes sans réussir à rattraper le 1er et sans se faire rattraper par le 2ème

C’est notamment au cours d’un sprint et lorsque les coureurs frottent, s’efforcer d’empêcher un adversaire de passer en écartant son coude ou ses deux coudes.

Choisir un boyau très léger, spécialement gardé pour une course de grande importance.

Quitter la course discrètement, pendant son déroulement, sans s’arrêter pour attendre la voiture balai et rendre son dossard.

Battre son adversaire par le plus petit écart, qui ne représente pas plus de l’épaisseur d’un boyau.

On dit que le concours de grimaces est commencé lorsque les hostilités, comme les premiers démarrages, démarrent.

Gagner en devançant ses adversaires sur la ligne d’arrivée.

Expression qui s’applique à un coureur ou à une équipe qui porte une attaque dès le départ réel de la course.

Se faire emmener derrière un cycliste. Tirer le peloton en étant à l’aise

Se dit d’un coureur qui gagne l’épreuve.

Se dit d’un cycliste qui gagne la course.

s’applique au coureur à la peine qui reste assis à l’avant de la selle de son vélo. Autre variante : Etre/Se mettre sur les trois rivets ; Avoir la selle dans le trou du cul ; Faire du bec de selle.

Commencer la bagarre , attaquer

tenir son guidon bien serré, soit en haut, de chaque côté de la potence, soit par en dessous , et l’utiliser comme appui des bras.

décider à marquer ses adversaires sans discontinuer, en restant en permanence derrière leurs roues.  

faire un sprint, surprendre touts les autres coureurs et distancer le peloton.

Se dit d’un cycliste qui essaye de se maintenir dans le peloton alors qu’il est dans une petite condition physique.  

être fatigué, ne pas être en bonne condition .

ne pas participer à toutes les actions entreprises, rouler tranquillement ; imiter en fait le facteur qui fait sa tournée.   

se dit d’un coureur qui n’a pu s’incorporer dans une bordure et qui est obligé de rouler sur le bord de la route.  

dans une course d’un jour, c’est ne rien gagner : « ce n’était pas la peine de venir pour ramasser des casquettes ». Dans une course à étape, c’est gagner le classement général par équipes, classement symbolise par des casquettes de couleur identique remises aux coureurs d’une même équipe.

Se dit d’un cycliste qui ne manque pas la bonne échappée.

lorsque le peloton roule doucement, en sortir rapidement pour tester ses adversaires, et accomplir une courte distance à une vitesse supérieure à celle du peloton 

avoir manqué son virage, et rouler sur le bas-côté, dans l’herbe, ou aller tout droit dans un champ.

Montrer un manque de forme flagrant, qui donne l’impression de ne pas avancer.   

se dit d’un cycliste  qui a une allure saccadée , cela dénote soit une grande fatigue, soit un manque de condition physique.

Le cycliste est dans une condition physique étonnante.  

monter une côte ou un col sans forcer outre mesure.Les coureurs non-grimpeurs n’essaient pas de suivre les meilleurs. Ils montent à leur main, persuadés de rattraper le temps perdu dans la descente ou sur le plat. 

Se dit d’un cycliste qui se trouve dans des conditions physiques hors du commun pour monter un col.  

monter un col avec un développement trop grand par rapport a la pente, en utilisant le grand plateau et un pignon relativement petit.

Se dit d’un coureur qui pointe le bout de son vélo en tête de peloton afin d’examiner la situation ou tester ses adversaires.  

Se dit d’un cycliste qui bat son adversaire de quelques centimètres.

Le peloton décide après avoir laissé les échappés de prendre la course en main.  

se dit d’un cycliste qui augmente le développement en mettant la chaîne sur le grand plateau ou sur un plus petit pignon.

expression traditionnellement employée dans les sports de ballon, apparue dans le milieu cycliste au cours des années 90. Cela signifie marquer de très près son adversaire, ne lui laissant aucune facilité de mouvement, en restant toujours à ses côtés.

se dit d’un coureur qui est  contraint de rouler sur le bas-côté, pour éviter la chute. Cela se produit souvent, lorsqu’il y a formation d’éventail ou de bordure.

perdre le contrôle de son vélo, et quitter la route pour aller chuter dans un champ.  

à environ quatre cents mètres de la ligne d’arrivée, se placer en tête, et imposer une vitesse de plus en plus grande ; le sprint est lancé, et il n’y a plus qu a attendre le dénouement. 

lors d’un sprint très serré, au tout dernier moment, tenter de faire franchir la ligne a sa roue avant, en soulevant le vélo, et d’un coup de rein, le jeter sur la ligne.   

se dit d’un cycliste qui remporte facilement la victoire dans une course lorsque les adversaires sont nettement inférieurs.

Se dit d’un cycliste qui attaque par surprise en laissant ses adversaires sur le carreau sans qu’ils puissent faire quoique ce soit.  

se rapproche de finir à pied le coureur roule sur la jante (boyau crevé) , termine tout doucement.  

Se dit d’un cycliste qui termine l’épreuve complètement épuisé.

adopter le plus grand développement, et le conserver en pédalant à vive allure, sans arrêts, en demandant le maximum aux muscles.

c’est avoir, à la suite d’une attaque, mis ses adversaires à bonne distance. Lorsqu’un coureur a pris deux ou trois cents mètres à ses poursuivants, on dit qu’il a fait le trou.

Se dit d’un cycliste qui roule très vite sans attendre que ses adversaires prennent le relais.  

se dit d’un cycliste qui attaque sans cesse pour élimer ses adversaire avant la fin de l’épreuve.  

Se dit d’un coureur qui est lâché par le peloton et qui revient et qui est relaché   un peu comme un yoyo.  

survoler toute la course, et dominer ses adversaires dans tous les compartiments de la course.

Se dit d’un coureur qui fait un demarrage en force obligeant les autres coureurs à le suivre dans l’attaque pour disloquer le peloton.

Le coureur s’assied sur le bout de sa selle pour donner plus de force à ses jambes.  

accumuler des kilomètres en début de saison, pour retrouver la condition physique, et en cours de saison pour la maintenir.

Se laisser porter par la course , tout en donnant l’impression d’y prendre part.  

Se dit d’un coureur qui est obligé de bricoler son vélo pendant une course.  

Avoir une malchance incroyable dans la même journée , chutes crevaisons etc … comme si il y a avait un mauvais sort…  

Se dit d’un coureur qui a une défaillance telle que tout le monde le croit assommé, il lui faut un certrain temps de récupération.