Author Archive: stephane

Se dit d’un coureur qui atteint sa vitesse maximale.  

Se dit d’un coureur qui finit une course a la première place qui ne donne pas de prix.  

se trouver entouré par des adversaires, sans avoir la possibilité de s’exprimer, ni de tenter une quelconque action.

Se dit d’un cycliste qui se laisse aller. il est dans le peloton sans produire le moindre effort.

être bien posé sur le vélo, rouler tout droit, à la même allure, sans balancement du corps, en donnant un mouvement régulier à son pédalage.

position du coureur, principalement en montagne. Elle oblige le coureur à se dresser sur les pédales, et pédaler en prenant appui sur le guidon. Cette position provoque un déhanchement, mouvement proche de celui d’une danseuse sur les pointes.

ne pas avoir trouvé l’abri nécessaire, soit dans le peloton, soit derrière un entraîneur, et être dans l’obligation de fournir plus d’efforts que les autres.

être incapable de continuer un train soutenu, et perdre le bénéfice d’efforts trop violents.

se trouver derrière un concurrent qui pédale rapidement, et se placer de la même façon que derrière une moto munie d’un rouleau, la roue avant prête à toucher la roue arrière dudit concurrent, et n’en plus bouger.

se trouver dans le peloton le plus important de la course.  

Se dit d’un cycliste qui marque son adversaire désigné en se mettant derrière lui.  

Se faire enfermer par ses concurrents lors d’un sprint, sans avoir la possibilité d’y échapper.  

Le cycliste l’a pas pris le soin d’être bien placé au bon moment, il ne peut pas se placer.  

faire partie de la bonne échappée, celle qui a toutes les chances de parvenir à l’arrivée sans être inquiétée par le peloton des poursuivants.

Se dit d’un cycliste qui n’avance plus , est sans force , il n’arrive pas tenir le rythme de la course.  

Le cycliste se fait reprendre par le peloton et l’aspire ou il est a l’arrière et utilise les motos et ou les voitures.  

Le cycliste n’arrive pas suivre le rythme de la course même si l’épreuve est facile.  

lors d’un sprint, écarter un adversaire de la main, ou attraper le maillot pour se propulser à l’avant. 

Se dit d’un cyclioste qui est en bonne condition physique et est particulièrement entreprenant et remuant, ne laissant aucun répit à l’adversaire.  

relancer la course sans discontinuer, et surtout, sans laisser le temps à l’adversaire de récupérer.

Le peloton finit la course avec les favoris , longtemps après le vainqueur , ils se désintéressent  de la course.  

Savoir pédaler très souplement, sans effort quelque soit le développement utilisé et le terrain.  

D’un seul coup être lâché du peloton sans pouvoir réagir, perdre rapidement du terrain  

Démarrer en force, sans avertir pour surprendre son adversaire à un moment ou il ne s’y attend pas, Faire une attaque surprise.  

Un cycliste étant en tête, en première position , augmente d’un seul coup son effort, afin d’accélérer l’allure du peloton.

Se dit d’un cycliste qui ne lâche pas toutes ses forces dans la bataille , mais conserve un peu de jus.cela lui permettra peut être d’attaquer  ou de répondre à une attaque.  

Etre en très bonnes conditions physiques et suit le rythme sans forcer.  

prendre en charge l’équipier le plus rapide au sprint, en le maintenant dans sa roue, lui éviter de prendre du vent en lui donnant de l’abri, et s’écarter brusquement pas très loin de la ligne d’arrivée, pour le laisser s’exprimer. 

se dit d’un cycliste qui adopte un développement très important ( grand plateau + peit pignon), demande de la puissance dans les jambes.  

Pédaler en force, rageusement, en appuyant son effort par un balancement du corps ; cette façon de pédaler se rencontre souvent chez un coureur seul, luttant contre le vent.

Descendre très mal un col, par manque de confiance en soi ; freiner sans arrêt, à faible allure, s’aider de ses pieds pour ralentir, ne pas savoir utiliser la trajectoire de la route.  

Position du coureur lorsqu’il n’est pas assis sur la selle.

augmenter l’avance qui sépare l’échappé ou le groupe d’échappés du peloton. 

faire la course sans participer à l’action ; profiter des efforts des autres. Cette façon de courir n’est pas très appréciée des autres concurrents.

brusque élévation de la route, sur une courte distance, avant d’atteindre le sommet d’une côte.

rouler très doucement, non par envie, mais contraint et forcé, par manque de forme. Le coureur donne l’impression, tant son allure est faible, de compter les pavés. La formule s’applique quel que soit le terrain.

Etre en bonnes conditions physiques et n’avoir aucune peine a pédaler

Sauter le ravitaillement ,ne pas prendre la musette tendue par les coéquipiers. Permet de profiter du ralentissement général pour s’échapper. Attention à la fringale ….  

Se dit d’un cycliste qui utilise un tout petit développement, il avance tout doucement comme un asthmatique qui monte un escalier pour éviter l’essoufflement.  

Combler la distance entre plusieurs coureurs ayant pris une avance de quelques mètres.Essayer de se remettre dans la roue du coureur situé juste devant.  

Se dit d’une équipe qui controle la course et empêche toute échappée et tout développemnt de l’épreuve.Cette action permet aux favoris de la course de mieux se placer.    

Se dit d’un cycliste qui s’aide d’une voiture pour se relancer. Attention cet acte est sévèrement puni si il se fait prendre.  

Le cycliste se protège avec un imperméable, le temps menaçant. Mais peut se dire d’un coureur qui va vite abandonner la course « Je vais bâcher de bonne heure »  

Se dit d’un coureur qui est supérieur aux autres ( bonnes conditions physiques mais aussi doué naturellement).  

se dit d’un cycliste de second rang qui n’inquiète personne au classement général , il aura peut être un « bon de sortie » pour gagner une étape régionale.  

La chaîne sera donc sur le plus peti plateau et sur la plus grande couronne , le cycliste aura donc le plus petit développement.  

La chaîne sera sur le grand plateau et sur la plus petite couronne , le cycliste aura donc le plus grand développement.  

le contraire de « avoir grand« . Le coureur a  un développement trop petit par rapport au terrain ou il évolue. il va donner plus de tours de pédalier que les autres.

poser les mains sur le haut des poignées de freins, à l’endroit qui les relie au guidon. Dans cette position le cycliste est décontracté, souvent utilisée lorsque l’allure de la course est réduite.  

Etre en période de relâche , en période repos. le cycliste se repose en recouvrant les jambes d’une couverture pour éviter un refroidissement de la musculature. Se dit aussi d’un coureur qui a une longue période d’inactivité.  

Se dit souvent dans les épreuves en deux temps , une le matin et une l’après-midi. les masseurs n’ont pas le temps de masser les muscles et restent donc contractés.  

Le coureur tient son guidon au bas du cintre le nez au ras de la potence,cette position est utilisée lorsque l’allure de la course est élevée.  

Voir  le coup de pédale

En très bonnes conditions physiques prêt à répondre a toutes les attaques , rouler sans difficulté à n’importe quelle allure.

Etre en bonne conditions physiques et prêt à répondre à une attaque. Se dit d’un sprinteur qui  a une forte puissance dans les jambes pour se démarquer au dernier moment.  

Très bonne condition physique, sans efforts il participe a toutes les actions de la course.  

Produire un effort au-dessus de ses possibilités, en recherchant le plus d’efficacité dans les jambes, en s’asseyant à l’avant de la selle ( voir « faire du bec de selle » ).

plus moyen de suivre l’allure des concurrents, les ressources du cycliste seront insuffisantes pour terminer.  

Semblable a avoir la frite , on a un sacré coup de pédale, de savate ….  

En général , c’est le favori de l’épreuve ou le leader de la compétition.il aura donc des attaques incessantes de la part du peloton.

ne pas s’abriter et rouler toujours face au vent , ne pas rechercher l’abri. cette méthode de course est préjudiciable pour la suite de l’épreuve.  

Avoir des fourmis dans les jambes et a tout moment prêt a gicler du peloton.  

se sentir bien , prêt pour les contre attaques ou être prêt a démordre avec son adversaire

Avoir faim, le cycliste victime de la fringale n ‘a pas su bien s’alimenter en fonction de la course. il est sans force et ne peut suivre le peloton.  

le cycliste utilise un développement trop important en fonction du terrain sur lequel il roule, il se fatigue a tenter de rester avec les autres.

A la suite d’une chute  beaucoup de coureurs se retrouvent à terre.

Lors d’un sprint , un coureur accusé de s’être accroché délibérément à un maillot , se servant de ceci pour se propulser devant son adversaire

Etre en très bonne condition physique et pas besoin de changer de braquet pour passer les cols de 3ème ou 4ème categorie.

se dit d’un groupe de coureurs dans une épreuve de montagne qui roulent ensemble pour arriver dans les délais.il y a toujours un spécialiste qui connaîtra le retard accumulé et qui donnera le rythme afin que le groupe est plus de poids en cas de hors délai.

S’échapper du peloton et avoir un écart assez conséquent entre le ou les coureurs échappés , on peut penser que l’échappée ira jusq’au bout.