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Choisir un boyau très léger, spécialement gardé pour une course de grande importance.

Quitter la course discrètement, pendant son déroulement, sans s’arrêter pour attendre la voiture balai et rendre son dossard.

Battre son adversaire par le plus petit écart, qui ne représente pas plus de l’épaisseur d’un boyau.

Se faire emmener derrière un cycliste. Tirer le peloton en étant à l’aise

Commencer la bagarre , attaquer

monter une côte ou un col sans forcer outre mesure.Les coureurs non-grimpeurs n’essaient pas de suivre les meilleurs. Ils montent à leur main, persuadés de rattraper le temps perdu dans la descente ou sur le plat. 

Se dit d’un cycliste qui se trouve dans des conditions physiques hors du commun pour monter un col.  

monter un col avec un développement trop grand par rapport a la pente, en utilisant le grand plateau et un pignon relativement petit.

Se dit d’un coureur qui pointe le bout de son vélo en tête de peloton afin d’examiner la situation ou tester ses adversaires.  

Se dit d’un cycliste qui bat son adversaire de quelques centimètres.

Le peloton décide après avoir laissé les échappés de prendre la course en main.  

se dit d’un cycliste qui augmente le développement en mettant la chaîne sur le grand plateau ou sur un plus petit pignon.

expression traditionnellement employée dans les sports de ballon, apparue dans le milieu cycliste au cours des années 90. Cela signifie marquer de très près son adversaire, ne lui laissant aucune facilité de mouvement, en restant toujours à ses côtés.

se dit d’un coureur qui est  contraint de rouler sur le bas-côté, pour éviter la chute. Cela se produit souvent, lorsqu’il y a formation d’éventail ou de bordure.

perdre le contrôle de son vélo, et quitter la route pour aller chuter dans un champ.  

Se dit d’un cycliste qui roule très vite sans attendre que ses adversaires prennent le relais.  

Se dit d’un coureur qui a une défaillance telle que tout le monde le croit assommé, il lui faut un certrain temps de récupération.  

lors d’un sprint, écarter un adversaire de la main, ou attraper le maillot pour se propulser à l’avant. 

relancer la course sans discontinuer, et surtout, sans laisser le temps à l’adversaire de récupérer.

Un cycliste étant en tête, en première position , augmente d’un seul coup son effort, afin d’accélérer l’allure du peloton.

Position du coureur lorsqu’il n’est pas assis sur la selle.

poser les mains sur le haut des poignées de freins, à l’endroit qui les relie au guidon. Dans cette position le cycliste est décontracté, souvent utilisée lorsque l’allure de la course est réduite.  

A la suite d’une chute  beaucoup de coureurs se retrouvent à terre.