Au hasard …

ne pas monter un pont de chemin de fer : Faire une mauvaise saison.

Voir  le coup de pédale

Se dit d’un coureur très costaud

Se dit d’un coureur qui est lâché par le peloton et qui revient et qui est relaché   un peu comme un yoyo.  

Le cycliste se fait reprendre par le peloton et l’aspire ou il est a l’arrière et utilise les motos et ou les voitures.  

dans les sprints c’est de plus en plus fréquent

La chaîne sera donc sur le plus peti plateau et sur la plus grande couronne , le cycliste aura donc le plus petit développement.  

Expression qui s’applique à un coureur ou à une équipe qui porte une attaque dès le départ réel de la course.

se dit d’un coureur qui est  contraint de rouler sur le bas-côté, pour éviter la chute. Cela se produit souvent, lorsqu’il y a formation d’éventail ou de bordure.

Rouler à la file indienne sur un bord de la route pour minimiser l’effet du vent de face.  

se dit d’un cycliste qui attaque sans cesse pour élimer ses adversaire avant la fin de l’épreuve.  

Position du coureur lorsqu’il n’est pas assis sur la selle.

à environ quatre cents mètres de la ligne d’arrivée, se placer en tête, et imposer une vitesse de plus en plus grande ; le sprint est lancé, et il n’y a plus qu a attendre le dénouement. 

terminer après tout le monde. Souvent l’apanage des moins bons coureurs, ou de ceux diminués, qui, lorsque la course se durcit, se font irrémédiablement lâcher par le peloton et franchissent la ligne d’arrivée une éternité après le vainqueur.

Etre en bonnes conditions physiques et n’avoir aucune peine a pédaler

être incapable de continuer un train soutenu, et perdre le bénéfice d’efforts trop violents.

Se dit d’un cyclioste qui est en bonne condition physique et est particulièrement entreprenant et remuant, ne laissant aucun répit à l’adversaire.  

Se mettre à rouler très vite et à augmenter cette vitesse à la manière d’un motocycliste qui tournerait vivement la poignée des gaz de sa moto.

Abandonner la course. Le coureur qui abandonne doit obligatoirement monter dans la voiture-balai, dernier véhicule de la caravane. Le coureur enlève son dossard et finit le parcours en voiture.

Acheter un morceau de terrain: Là où on se gamelle, cela arrive malheureusement.

Commencer la bagarre , attaquer

Attaquer

Avoir recours à des substances à l’insu du plein gré…

Se dit d’un cycliste qui attaque par surprise en laissant ses adversaires sur le carreau sans qu’ils puissent faire quoique ce soit.  

ça va se finir sur les genoux du préfet : la course va se finir avec un sprint massif  

Le peloton décide après avoir laissé les échappés de prendre la course en main.  

lors d’un sprint, écarter un adversaire de la main, ou attraper le maillot pour se propulser à l’avant. 

se sentir bien , prêt pour les contre attaques ou être prêt a démordre avec son adversaire

monter une côte ou un col sans forcer outre mesure.Les coureurs non-grimpeurs n’essaient pas de suivre les meilleurs. Ils montent à leur main, persuadés de rattraper le temps perdu dans la descente ou sur le plat. 

Cet aspect de la course intervient lorsqu’il y a un vent très fort. Souvent, le peloton se scinde en plusieurs éventails. Le premier coureur se place cote vent, les autres s’installent en se décalant pour être dans l’abri, sur toute la largeur de la route. L’évolution de l’éventail est la suivante : le vent vient […]

rouler très doucement, non par envie, mais contraint et forcé, par manque de forme. Le coureur donne l’impression, tant son allure est faible, de compter les pavés. La formule s’applique quel que soit le terrain.

augmenter l’avance qui sépare l’échappé ou le groupe d’échappés du peloton. 

Le cycliste l’a pas pris le soin d’être bien placé au bon moment, il ne peut pas se placer.  

En très bonnes conditions physiques prêt à répondre a toutes les attaques , rouler sans difficulté à n’importe quelle allure.

Le cycliste se protège avec un imperméable, le temps menaçant. Mais peut se dire d’un coureur qui va vite abandonner la course « Je vais bâcher de bonne heure »  

Se dit d’un coureur qui a une défaillance telle que tout le monde le croit assommé, il lui faut un certrain temps de récupération.  

Après avoir conduit sa course sur le plan tactique, avec l’aide de ses coéquipiers, prendre la direction des opérations et dominer ses adversaires, en faisant seulement appel à ses qualités et à ses dons.

se dit d’un coureur qui n’a pu s’incorporer dans une bordure et qui est obligé de rouler sur le bord de la route.  

Pédaler en force, rageusement, en appuyant son effort par un balancement du corps ; cette façon de pédaler se rencontre souvent chez un coureur seul, luttant contre le vent.

Etre en période de relâche , en période repos. le cycliste se repose en recouvrant les jambes d’une couverture pour éviter un refroidissement de la musculature. Se dit aussi d’un coureur qui a une longue période d’inactivité.  

Etre en très bonne condition physique et pas besoin de changer de braquet pour passer les cols de 3ème ou 4ème categorie.

Se dit d’un cycliste peu atypique, au manque de fluidité certain dans son allure que l’on remarque par un dodelinement de la tête.

lors d’un sprint très serré, au tout dernier moment, tenter de faire franchir la ligne a sa roue avant, en soulevant le vélo, et d’un coup de rein, le jeter sur la ligne.   

ne pas participer à toutes les actions entreprises, rouler tranquillement ; imiter en fait le facteur qui fait sa tournée.   

Chaudière : cycliste dopé(e).

plus moyen de suivre l’allure des concurrents, les ressources du cycliste seront insuffisantes pour terminer.  

Battre son adversaire par le plus petit écart, qui ne représente pas plus de l’épaisseur d’un boyau.

se dit d’un cycliste  qui a une allure saccadée , cela dénote soit une grande fatigue, soit un manque de condition physique.

dans une course d’un jour, c’est ne rien gagner : « ce n’était pas la peine de venir pour ramasser des casquettes ». Dans une course à étape, c’est gagner le classement général par équipes, classement symbolise par des casquettes de couleur identique remises aux coureurs d’une même équipe.

Se dit d’un cycliste qui s’aide d’une voiture pour se relancer. Attention cet acte est sévèrement puni si il se fait prendre.  

Se dit d’un cycliste qui se laisse aller. il est dans le peloton sans produire le moindre effort.

ne pas s’abriter et rouler toujours face au vent , ne pas rechercher l’abri. cette méthode de course est préjudiciable pour la suite de l’épreuve.  

se placer en tête de la course, et obliger les autres à suivre à la cadence voulue. Ceux qui ne pourront pas suivre seront lâchés. Si un coureur veut faire ralentir l?allure, il tentera de passer devant, mais l’autre reprendra la tête et pourra, a nouveau, imposer l’allure qu’il souhaite.

Se laisser porter par la course , tout en donnant l’impression d’y prendre part.  

se rapproche de finir à pied le coureur roule sur la jante (boyau crevé) , termine tout doucement.  

Se dit d’un cycliste qui essaye de se maintenir dans le peloton alors qu’il est dans une petite condition physique.  

Le cycliste est dans une condition physique étonnante.  

expression traditionnellement employée dans les sports de ballon, apparue dans le milieu cycliste au cours des années 90. Cela signifie marquer de très près son adversaire, ne lui laissant aucune facilité de mouvement, en restant toujours à ses côtés.

Le coureur tient son guidon au bas du cintre le nez au ras de la potence,cette position est utilisée lorsque l’allure de la course est élevée.  

Se dit dans une épreuve quand une chute massive se produit.

Choisir un boyau très léger, spécialement gardé pour une course de grande importance.

pas de poussière sur le 13 aujhourd’hui

action réalisée par un groupe de coureurs attardés qui rejoint le premier peloton, cette action permettant le regroupement de tout l’effectif.

Se dit d’un cycliste qui roule très vite sans attendre que ses adversaires prennent le relais.  

Se dit d’un coureur qui finit une course a la première place qui ne donne pas de prix.  

Démarrer en force, sans avertir pour surprendre son adversaire à un moment ou il ne s’y attend pas, Faire une attaque surprise.  

aalignéle peloton suite à une acceleration

Très bonne condition physique, sans efforts il participe a toutes les actions de la course.  

Se dit d’un coureur qui fait un demarrage en force obligeant les autres coureurs à le suivre dans l’attaque pour disloquer le peloton.

Avoir faim, le cycliste victime de la fringale n ‘a pas su bien s’alimenter en fonction de la course. il est sans force et ne peut suivre le peloton.  

Un cycliste étant en tête, en première position , augmente d’un seul coup son effort, afin d’accélérer l’allure du peloton.

Faire une Armstrong : partir dans le décor, et retrouver la route plus loin (ou plus bas) en passant à travers champs.

Sauter le ravitaillement ,ne pas prendre la musette tendue par les coéquipiers. Permet de profiter du ralentissement général pour s’échapper. Attention à la fringale ….  

Se dit d’un cycliste qui ne manque pas la bonne échappée.

faire partie de la bonne échappée, celle qui a toutes les chances de parvenir à l’arrivée sans être inquiétée par le peloton des poursuivants.

Montrer un manque de forme flagrant, qui donne l’impression de ne pas avancer.   

avoir manqué son virage, et rouler sur le bas-côté, dans l’herbe, ou aller tout droit dans un champ.

le contraire de « avoir grand« . Le coureur a  un développement trop petit par rapport au terrain ou il évolue. il va donner plus de tours de pédalier que les autres.

Expression utilisée par les coureurs d’épreuves d’américaines ou de 6 jours. C’est, pour un coureur expérimenté et de qualité, faire accomplir l’apprentissage à un jeune, manquant d’expérience et auquel il est associé. C’est aussi courir pour mettre en valeur un routier en renom, mais insuffisamment adapté à la piste.

Se dit d’un coureur qui atteint sa vitesse maximale.  

La chaîne sera sur le grand plateau et sur la plus petite couronne , le cycliste aura donc le plus grand développement.  

Le coureur s’assied sur le bout de sa selle pour donner plus de force à ses jambes.  

Se faire emmener derrière un cycliste. Tirer le peloton en étant à l’aise

se dit d’un groupe de coureurs dans une épreuve de montagne qui roulent ensemble pour arriver dans les délais.il y a toujours un spécialiste qui connaîtra le retard accumulé et qui donnera le rythme afin que le groupe est plus de poids en cas de hors délai.

Le cycliste n’arrive pas suivre le rythme de la course même si l’épreuve est facile.  

se dit d’un cycliste qui adopte un développement très important ( grand plateau + peit pignon), demande de la puissance dans les jambes.  

foncer tête baissée sans trop se poser de question.

Se dit d’un cycliste qui termine l’épreuve complètement épuisé.

décider à marquer ses adversaires sans discontinuer, en restant en permanence derrière leurs roues.  

Avoir des fourmis dans les jambes et a tout moment prêt a gicler du peloton.  

Se dit d’un cycliste qui marque son adversaire désigné en se mettant derrière lui.  

c’est être entre deux groupes sans réussir à rattraper le 1er et sans se faire rattraper par le 2ème

Se dit d’un cycliste qui ne lâche pas toutes ses forces dans la bataille , mais conserve un peu de jus.cela lui permettra peut être d’attaquer  ou de répondre à une attaque.  

Semblable a avoir la frite , on a un sacré coup de pédale, de savate ….  

ne pas avoir trouvé l’abri nécessaire, soit dans le peloton, soit derrière un entraîneur, et être dans l’obligation de fournir plus d’efforts que les autres.

faire la course sans participer à l’action ; profiter des efforts des autres. Cette façon de courir n’est pas très appréciée des autres concurrents.

brusque élévation de la route, sur une courte distance, avant d’atteindre le sommet d’une côte.

être fatigué, ne pas être en bonne condition .

Surveiller, lors d’un sprint, la position des adversaires, et soudain se faufiler dans l’espace laissé par eux, pour passer devant et gagner la course.

Se faire enfermer par ses concurrents lors d’un sprint, sans avoir la possibilité d’y échapper.  

-Sors la vaisselle, vlà du beau monde : mettre à gauche sur les grandes assiette, mettre sur le grand plateau

Rouler dans la pampa : rouler seul, lâché par le peloton.

poser les mains sur le haut des poignées de freins, à l’endroit qui les relie au guidon. Dans cette position le cycliste est décontracté, souvent utilisée lorsque l’allure de la course est réduite.  

Le peloton finit la course avec les favoris , longtemps après le vainqueur , ils se désintéressent  de la course.  

se dit d’un cycliste qui augmente le développement en mettant la chaîne sur le grand plateau ou sur un plus petit pignon.

Quitter la course discrètement, pendant son déroulement, sans s’arrêter pour attendre la voiture balai et rendre son dossard.

survoler toute la course, et dominer ses adversaires dans tous les compartiments de la course.

perdre le contrôle de son vélo, et quitter la route pour aller chuter dans un champ.  

Se dit d’un coureur qui est obligé de bricoler son vélo pendant une course.  

Avoir une malchance incroyable dans la même journée , chutes crevaisons etc … comme si il y a avait un mauvais sort…  

Produire un effort au-dessus de ses possibilités, en recherchant le plus d’efficacité dans les jambes, en s’asseyant à l’avant de la selle ( voir « faire du bec de selle » ).

le cycliste utilise un développement trop important en fonction du terrain sur lequel il roule, il se fatigue a tenter de rester avec les autres.

monter un col avec un développement trop grand par rapport a la pente, en utilisant le grand plateau et un pignon relativement petit.

Se dit d’un cycliste qui abandonne alors qu’il est tout neuf.

Combler la distance entre plusieurs coureurs ayant pris une avance de quelques mètres.Essayer de se remettre dans la roue du coureur situé juste devant.  

Etre en bonne conditions physiques et prêt à répondre à une attaque. Se dit d’un sprinteur qui  a une forte puissance dans les jambes pour se démarquer au dernier moment.  

accumuler des kilomètres en début de saison, pour retrouver la condition physique, et en cours de saison pour la maintenir.

Se dit d’un cycliste qui utilise un tout petit développement, il avance tout doucement comme un asthmatique qui monte un escalier pour éviter l’essoufflement.  

S’employer complètement dans une action, en allant au-delà de ses limites, et ce, jusqu’au point de rupture, avant d’être dans le rouge, pour conserver un avantage ou se maintenir à l’avant de la course.

Se dit d’un cycliste qui n’avance plus , est sans force , il n’arrive pas tenir le rythme de la course.  

Se dit d’un cycliste qui possède ses deux bidons pleins.

action commise par une équipe qui attaque sans cesse pour faire perdre pied à l?adversaire et en éliminer le plus possible. On dit aussi « faire la lessive ».

Faire une Beloki : faire un joli soleil où ça fait mal partout.

Lors d’un sprint , un coureur accusé de s’être accroché délibérément à un maillot , se servant de ceci pour se propulser devant son adversaire

se dit d’un cycliste qui remporte facilement la victoire dans une course lorsque les adversaires sont nettement inférieurs.

position du coureur, principalement en montagne. Elle oblige le coureur à se dresser sur les pédales, et pédaler en prenant appui sur le guidon. Cette position provoque un déhanchement, mouvement proche de celui d’une danseuse sur les pointes.

Se dit d’un coureur qui n’ a pas le bon braquet et qui mouline à fond.

GRUPPETTO : groupe de coureurs qui roulent ensemble pour terminer la course dans les délais.

S’échapper du peloton et avoir un écart assez conséquent entre le ou les coureurs échappés , on peut penser que l’échappée ira jusq’au bout.

adopter le plus grand développement, et le conserver en pédalant à vive allure, sans arrêts, en demandant le maximum aux muscles.

Se dit d’un coureur qu descend de façon dangereuse et qu’il risque sa vie.

c’est avoir, à la suite d’une attaque, mis ses adversaires à bonne distance. Lorsqu’un coureur a pris deux ou trois cents mètres à ses poursuivants, on dit qu’il a fait le trou.

pédaler les genoux écartés, à chaque coup de pédale oulala..oulala..çà fait mal..

relancer la course sans discontinuer, et surtout, sans laisser le temps à l’adversaire de récupérer.

D’un seul coup être lâché du peloton sans pouvoir réagir, perdre rapidement du terrain  

Savoir pédaler très souplement, sans effort quelque soit le développement utilisé et le terrain.  

se dit d’un cycliste de second rang qui n’inquiète personne au classement général , il aura peut être un « bon de sortie » pour gagner une étape régionale.  

Se dit d’un coureur qui gagne l’épreuve.

Gagner en devançant ses adversaires sur la ligne d’arrivée.

Se dit d’un cycliste qui se trouve dans des conditions physiques hors du commun pour monter un col.  

le rouin étant l’ornière laissée par le passage de la roue.

Etre en très bonnes conditions physiques et suit le rythme sans forcer.  

Se doper

Se dit d’un coureur qui pointe le bout de son vélo en tête de peloton afin d’examiner la situation ou tester ses adversaires.  

s’applique au coureur à la peine qui reste assis à l’avant de la selle de son vélo. Autre variante : Etre/Se mettre sur les trois rivets ; Avoir la selle dans le trou du cul ; Faire du bec de selle.

Ecoeurer son adversaire. Lorsqu’un coureur, en grande condition, se joue des obstacles, alors que ses adversaires ont du mal à suivre, et font beaucoup d’efforts, ces derniers sont écoeurés. Le voir pédaler aussi facilement, leur « file la pompe ».

Se dit d’un cycliste qui bat son adversaire de quelques centimètres.

Se dit souvent dans les épreuves en deux temps , une le matin et une l’après-midi. les masseurs n’ont pas le temps de masser les muscles et restent donc contractés.  

se trouver entouré par des adversaires, sans avoir la possibilité de s’exprimer, ni de tenter une quelconque action.

prendre en charge l’équipier le plus rapide au sprint, en le maintenant dans sa roue, lui éviter de prendre du vent en lui donnant de l’abri, et s’écarter brusquement pas très loin de la ligne d’arrivée, pour le laisser s’exprimer. 

Se dit d’un cycliste qui gagne la course.

Penser vélo, ne parler que de vélo, faire une fixette sur la chose cycliste, etc…

Récupérer ses forces

faire une accélération subite.

Descendre très mal un col, par manque de confiance en soi ; freiner sans arrêt, à faible allure, s’aider de ses pieds pour ralentir, ne pas savoir utiliser la trajectoire de la route.  

En général , c’est le favori de l’épreuve ou le leader de la compétition.il aura donc des attaques incessantes de la part du peloton.

être bien posé sur le vélo, rouler tout droit, à la même allure, sans balancement du corps, en donnant un mouvement régulier à son pédalage.

faire un sprint, surprendre touts les autres coureurs et distancer le peloton.

Se dit d’une équipe qui controle la course et empêche toute échappée et tout développemnt de l’épreuve.Cette action permet aux favoris de la course de mieux se placer.    

rouler avec une fréquence de pédalage élevée.  

Chercher le beurre dans le Frigo : faire une perquisition dans une équipe cycliste. Valable uniquement pour des équipes françaises, espagnoles et italiennes.

se trouver dans le peloton le plus important de la course.  

Se dit d’un coureur qui est supérieur aux autres ( bonnes conditions physiques mais aussi doué naturellement).  

C’est notamment au cours d’un sprint et lorsque les coureurs frottent, s’efforcer d’empêcher un adversaire de passer en écartant son coude ou ses deux coudes.

tenir son guidon bien serré, soit en haut, de chaque côté de la potence, soit par en dessous , et l’utiliser comme appui des bras.

On dit que le concours de grimaces est commencé lorsque les hostilités, comme les premiers démarrages, démarrent.

avoir des traces de pneus sur la langue: se mettre derrière pour se protéger.

lorsque le peloton roule doucement, en sortir rapidement pour tester ses adversaires, et accomplir une courte distance à une vitesse supérieure à celle du peloton 

A la suite d’une chute  beaucoup de coureurs se retrouvent à terre.

se trouver derrière un concurrent qui pédale rapidement, et se placer de la même façon que derrière une moto munie d’un rouleau, la roue avant prête à toucher la roue arrière dudit concurrent, et n’en plus bouger.